Vous aimez Cafétech ? Aidez-nous à pérenniser notre modèle
Cafétech revient pour une quatrième saison, mais a d'abord besoin de votre soutien.
Avant d’entamer, dès demain, une quatrième saison, Cafétech a besoin de votre soutien. Nous lançons aujourd’hui une campagne de financement participatif, indispensable pour pérenniser notre modèle gratuit dans un contexte peu favorable. Plus d’explications ci-dessous.
Pour nous soutenir, vous pouvez également faire connaître Cafétech autour de vous. Et aussi liker, partager ou commenter notre dernière publication sur LinkedIn ou notre dernier message sur Twitter.
Bonjour à tous,
Je vous parle régulièrement des difficultés financières rencontrées par des start-up. Aujourd’hui, je vais vous parler de celles de Cafétech, sans volonté de sombrer dans le catastrophisme mais simplement d’être transparent avec vous.
Il y a trois ans, je me suis lancé dans une aventure un peu folle: quitter un beau poste en CDI pour me lancer dans l’aventure Cafétech, un projet qui me tenait à cœur depuis mon long passage à San Francisco, de 2012 à 2019.
Mon idée est alors simple: bâtir le média sur la tech que je souhaiterais lire. Et proposer, gratuitement et en français, des analystes sur l’actualité tech que vous ne trouvez pas forcément ailleurs.
Vous êtes aujourd’hui près de 12.500 abonnés. Et chaque édition de Cafétech génère plus de 11.000 vues, par mail ou sur Substack. Je reçois régulièrement des messages d’encouragements et de félicitations, qui me confortent dans ma volonté de poursuivre l’aventure.
Mais le défi n’est pas encore gagné. Car la monétisation reste difficile. Si les débuts avaient été encourageants, l’an passé, la situation est désormais beaucoup plus complexe alors que l’argent ne coule plus à flot dans l’écosystème tech. Et que les dépenses marketing sont, généralement, les premières impactées par les coupes budgétaires.
Avec Cafétech, mon objectif a toujours été journalistique. Mais à un moment, la réalité économique s’impose. Ces derniers mois, j’ai occupé en parallèle un autre poste, qui explique pourquoi le rythme de parution de la newsletter a été moins régulier.
Dès lors, trois options s’offrent à moi:
S’arrêter. Je ne vous cache y avoir pensé en juin lorsque l’on m’a proposé un poste dans un beau média. Mais je souhaite poursuivre, pas arrêter maintenant après tout ce que j’ai réussi à bâtir.
Passer en payant. Mais cette solution n’est pas adaptée pour deux raisons. D’abord, il est très difficile de faire payer des lecteurs qui ont été habitués à lire gratuitement - quel que soit la qualité de l’offre éditoriale. Ensuite, faire payer revient à exclure l’immense majorité des lecteurs.
Demander l’aide des lecteurs pour pouvoir me concentrer à temps plein à Cafétech, tout en conservant le modèle gratuit, auquel je tiens vraiment.
La campagne de financement participatif, lancée sur la plateforme Ulule, doit représenter une source de recettes complémentaires aux recettes publicitaires. D’ailleurs, si vous souhaitez sponsoriser Cafétech, pour toucher une audience qualifiée et pour nous soutenir, vous pouvez me contacter en répondant à ce message.
Je n'ai, très honnêtement, aucune idée du montant que cette campagne peut générer. Ce qui est certain, c’est que votre soutien (unique ou mensuel) aidera Cafétech à continuer dans la forme actuelle. Et peut-être de concrétiser les autres projets éditoriaux que j’ai en tête.
Pour finir, une précision importante: votre soutien financier à Cafétech n’offre aucun privilège particulier, si ce n’est la satisfaction de donner un coup de main à la newsletter que vous lisez tous les matins.
Merci par avance et à demain.
Jérôme Marin
PS: N’hésitez pas à contacter directement par retour de mail ou à l’adresse jerome@cafetech.fr en cas de questions. Ou simplement pour un petit message d’encouragement.